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Mon Bouquet, une cuvée à l’assemblage surprenant et unique…

18 octobre 2022

Et si le Château Haut-Goujon vous offrait un bouquet…


Cette nouvelle création explore des associations inédites en réunissant nos 5 cépages, avec notamment le Petit Verdot (planté en 2013), inhabituel dans notre région, et le Malbec, qui viennent sublimer ce vin. Chaque année, l’assemblage et l’élevage seront différents en fonction de la qualité du millésime et surtout du ressenti du vigneron. Cela s’inscrit dans la continuité de l’évolution de la gamme créative.

Mon Bouquet - Lalande de Pomerol

Millésime 2019 :
Cépages : 20 % Malbec, 10 % Petit Verdot,
60 % Merlot, 5 % Cabernet Franc, 5 % Cabernet Sauvignon

Robe d’un grenat profond.
Nez puissant de bouquet de fruits noirs (cerise noire, griotte…).
L’attaque en bouche est explosive, sur un fruit compoté de prune, pruneau. L’évolution est longue et bien soutenue.
Un vin construit sur la puissance aromatique.
À carafer pour une meilleure expression…

Mon bouquet graphique

Millésime 2020 :
Cépages : 30 % Malbec, 5 % Petit Verdot, 35 % Merlot,
15 % Cabernet Franc, 15 % Cabernet Sauvignon

Couleur pourpre avec des reflets violines marquant la jeunesse du millésime.
Le nez est franc et net, avec une complexité d’arômes torréfiés déjà mêlés au cassis et à la mûre compotée.
L’attaque est vive et franche. Une belle longueur et une construction basée sur un mélange de fruits très mûrs soutenus par un boisé maîtrisé.
Un superbe millésime que l’on peut déjà apprécier pour sa fraîcheur et ses tanins fins, mais qui saura également patienter 4 ou 5 ans en cave.

Comme une composition de fleurs dans un bouquet, cette cuvée est déclinée en 6 bouteilles et vendue uniquement en caisses de 6 sur deux grands millésimes (2019 et 2020). Il s’agit d’une production limitée (2 000 bouteilles par an). Chaque bouteille sera numérotée.

Mon Bouquet Lalande de Pomerol

Pour la création de l’étiquette, nous avons choisi de travailler avec un couple de graphistes talentueux et empreints de sensibilité, Élodie et Christophe Brisson, La Bête Noire. Nous souhaitions une étiquette qui appelle les sens, un gaufrage, une surimpression des lettres et des couleurs qui évoluent d’une bouteille à l’autre, comme dans un bouquet de fleurs.